Indiens Huaorani peuple nu d'equateur (france 5 le 02 Juillet 2006)
HUAORANI, LE PEUPLE DE LA FORET
Documentaire de 52\' écrit et réalisé par Marc Simonnet, et produit par MC4, avec la participation de France 5, de Planète et du CNC. Production déléguée : Jean-Pierre Bailly. Musique : Loïc Brisard. Traduction : Aracéli Delgado. Narration : Patrick Delage. Voix-off : Marc Brunet. 2005. En Equateur, tout au fond de la forêt amazonienne, la dernière communauté indigène tente de sauver son territoire ancestral afin de préserver son mode de vie. Aujourd\'hui, à Bameno, des membres de la tribu Huaorani vivent encore de la chasse et de la cueillette. Pourtant, les ravages causés par l\'arrivée de la civilisation semblent irréparables...
A la rencontre des autres hommes (documentaire ARTE de michel viotte) partie 1 de 4
À l\'occasion de l\'ouverture du musée des Arts et civilisations d\'Afrique, d\'Asie, d\'Océanie et des Amériques, situé quai Branly à Paris, ce documentaire retrace l\'histoire du regard occidental porté sur les peuples longtemps considérés comme "primitifs". Une histoire dans laquelle le cinéma et la photographie ont joué un grand rôle, fixant les ultimes confrontations entre les dernières sociétés traditionnelles et l\'Occident triomphant.
À l\'aide de documents scientifiques et artistiques, le réalisateur retrace l\'histoire édifiante du regard occidental porté sur l\'"Autre", le "primitif", depuis les premières descriptions du "bon sauvage" et du "chasseur de têtes" jusqu\'aux travaux d\'ethnologues comme Marcel Griaule ou Claude Lévi-Strauss qui, au XXe siècle, ont remis en cause bien des préjugés. Il nous remémore les grandes étapes de l\'expansion européenne, qui débutèrent avec les conquêtes maritimes du XVe siècle et dont les guerres coloniales du XIXe siècle marquèrent l\'apogée. Devant cette avancée dévastatrice de l\'homme blanc, l\'Autre devait disparaître ou se soumettre, avant que ne s\'amorce une lente évolution des mentalités.
LES PETITS PLUS D\'un regard à l\'autre Depuis le XVe siècle et la découverte du Nouveau Monde, l\'histoire des hommes fut profondément marquée par l\'expansionnisme de l\'Occident, qui tenta d\'imposer son modèle économique, politique et religieux à des sociétés qui, pour la plupart, ne survécurent pas à ce contact. Mais l\'imaginaire de ces peuples se perpétue à travers les oeuvres qu\'ils ont créées et qui sont désormais exposées dans les plus grands musées. Dans cet héritage complexe s\'exprime quelque chose d\'essentiel : un rapport au monde différent du nôtre, fruit d\'une pensée élaborée que notre aveuglement nous empêcha longtemps de percevoir. Piégés par leur ethnocentrisme et leur rationalisme, les conquérants, missionnaires, commerçants, explorateurs et autres colons ne virent souvent dans l\'expression de ces cultures (danses, chants, costumes, sculptures, rites) que folklore, sorcellerie et superstition. Ce documentaire raconte l\'histoire tourmentée de cette rencontre avec des cultures originales et mesure le chemin parcouru jusqu\'à la reconnaissance des "autres hommes", trop longtemps appelés "primitifs". Réunissant des images d\'archives exceptionnelles (extraits de films coloniaux, exotiques, scientifiques, images des expositions universelles...), il montre, au fil des siècles, les limites et les évolutions du regard porté sur l\'Autre. "Il s\'agit de nous pencher avec lucidité sur une histoire récente, la nôtre, et de relier les événements entre eux pour mesurer quelle fut l\'arrogance du monde occidental, pour comprendre notre responsabilité dans l\'équilibre d\'un monde que nous savons désormais nécessairement pluriel", explique Michel Viotte, qui a réalisé entre autres Les amants de l\'aventure et Le dernier safari. Chaque plan de son film nous parle de nos peurs, de nos ignorances, de nos vanités, de nos cupidités, mais aussi de nos rêves, de nos courages, de notre volonté de connaître et de comprendre. Dénué de toute nostalgie, adoptant une position critique et humaniste, il interroge avec force la place accordée aujourd\'hui aux civilisations et aux arts dits "premiers".
lundi, 19 juin 2006 à 20:40 Rediffusions : 22.06.2006 à 15:15 26.06.2006 à 01:25
A la rencontre des autres hommes (France, 2006, 85mn) ARTE F Réalisateur: Michel Viotte
A la rencontre des autres hommes (documentaire ARTE de michel viotte) partie 2 de 4
À l\'occasion de l\'ouverture du musée des Arts et civilisations d\'Afrique, d\'Asie, d\'Océanie et des Amériques, situé quai Branly à Paris, ce documentaire retrace l\'histoire du regard occidental porté sur les peuples longtemps considérés comme "primitifs". Une histoire dans laquelle le cinéma et la photographie ont joué un grand rôle, fixant les ultimes confrontations entre les dernières sociétés traditionnelles et l\'Occident triomphant.
À l\'aide de documents scientifiques et artistiques, le réalisateur retrace l\'histoire édifiante du regard occidental porté sur l\'"Autre", le "primitif", depuis les premières descriptions du "bon sauvage" et du "chasseur de têtes" jusqu\'aux travaux d\'ethnologues comme Marcel Griaule ou Claude Lévi-Strauss qui, au XXe siècle, ont remis en cause bien des préjugés. Il nous remémore les grandes étapes de l\'expansion européenne, qui débutèrent avec les conquêtes maritimes du XVe siècle et dont les guerres coloniales du XIXe siècle marquèrent l\'apogée. Devant cette avancée dévastatrice de l\'homme blanc, l\'Autre devait disparaître ou se soumettre, avant que ne s\'amorce une lente évolution des mentalités.
LES PETITS PLUS D\'un regard à l\'autre Depuis le XVe siècle et la découverte du Nouveau Monde, l\'histoire des hommes fut profondément marquée par l\'expansionnisme de l\'Occident, qui tenta d\'imposer son modèle économique, politique et religieux à des sociétés qui, pour la plupart, ne survécurent pas à ce contact. Mais l\'imaginaire de ces peuples se perpétue à travers les oeuvres qu\'ils ont créées et qui sont désormais exposées dans les plus grands musées. Dans cet héritage complexe s\'exprime quelque chose d\'essentiel : un rapport au monde différent du nôtre, fruit d\'une pensée élaborée que notre aveuglement nous empêcha longtemps de percevoir. Piégés par leur ethnocentrisme et leur rationalisme, les conquérants, missionnaires, commerçants, explorateurs et autres colons ne virent souvent dans l\'expression de ces cultures (danses, chants, costumes, sculptures, rites) que folklore, sorcellerie et superstition. Ce documentaire raconte l\'histoire tourmentée de cette rencontre avec des cultures originales et mesure le chemin parcouru jusqu\'à la reconnaissance des "autres hommes", trop longtemps appelés "primitifs". Réunissant des images d\'archives exceptionnelles (extraits de films coloniaux, exotiques, scientifiques, images des expositions universelles...), il montre, au fil des siècles, les limites et les évolutions du regard porté sur l\'Autre. "Il s\'agit de nous pencher avec lucidité sur une histoire récente, la nôtre, et de relier les événements entre eux pour mesurer quelle fut l\'arrogance du monde occidental, pour comprendre notre responsabilité dans l\'équilibre d\'un monde que nous savons désormais nécessairement pluriel", explique Michel Viotte, qui a réalisé entre autres Les amants de l\'aventure et Le dernier safari. Chaque plan de son film nous parle de nos peurs, de nos ignorances, de nos vanités, de nos cupidités, mais aussi de nos rêves, de nos courages, de notre volonté de connaître et de comprendre. Dénué de toute nostalgie, adoptant une position critique et humaniste, il interroge avec force la place accordée aujourd\'hui aux civilisations et aux arts dits "premiers".
lundi, 19 juin 2006 à 20:40 Rediffusions : 22.06.2006 à 15:15 26.06.2006 à 01:25
A la rencontre des autres hommes (France, 2006, 85mn) ARTE F Réalisateur: Michel Viotte
A la rencontre des autres hommes (documentaire ARTE de michel viotte) partie 3 de 4
À l\'occasion de l\'ouverture du musée des Arts et civilisations d\'Afrique, d\'Asie, d\'Océanie et des Amériques, situé quai Branly à Paris, ce documentaire retrace l\'histoire du regard occidental porté sur les peuples longtemps considérés comme "primitifs". Une histoire dans laquelle le cinéma et la photographie ont joué un grand rôle, fixant les ultimes confrontations entre les dernières sociétés traditionnelles et l\'Occident triomphant.
À l\'aide de documents scientifiques et artistiques, le réalisateur retrace l\'histoire édifiante du regard occidental porté sur l\'"Autre", le "primitif", depuis les premières descriptions du "bon sauvage" et du "chasseur de têtes" jusqu\'aux travaux d\'ethnologues comme Marcel Griaule ou Claude Lévi-Strauss qui, au XXe siècle, ont remis en cause bien des préjugés. Il nous remémore les grandes étapes de l\'expansion européenne, qui débutèrent avec les conquêtes maritimes du XVe siècle et dont les guerres coloniales du XIXe siècle marquèrent l\'apogée. Devant cette avancée dévastatrice de l\'homme blanc, l\'Autre devait disparaître ou se soumettre, avant que ne s\'amorce une lente évolution des mentalités.
LES PETITS PLUS D\'un regard à l\'autre Depuis le XVe siècle et la découverte du Nouveau Monde, l\'histoire des hommes fut profondément marquée par l\'expansionnisme de l\'Occident, qui tenta d\'imposer son modèle économique, politique et religieux à des sociétés qui, pour la plupart, ne survécurent pas à ce contact. Mais l\'imaginaire de ces peuples se perpétue à travers les oeuvres qu\'ils ont créées et qui sont désormais exposées dans les plus grands musées. Dans cet héritage complexe s\'exprime quelque chose d\'essentiel : un rapport au monde différent du nôtre, fruit d\'une pensée élaborée que notre aveuglement nous empêcha longtemps de percevoir. Piégés par leur ethnocentrisme et leur rationalisme, les conquérants, missionnaires, commerçants, explorateurs et autres colons ne virent souvent dans l\'expression de ces cultures (danses, chants, costumes, sculptures, rites) que folklore, sorcellerie et superstition. Ce documentaire raconte l\'histoire tourmentée de cette rencontre avec des cultures originales et mesure le chemin parcouru jusqu\'à la reconnaissance des "autres hommes", trop longtemps appelés "primitifs". Réunissant des images d\'archives exceptionnelles (extraits de films coloniaux, exotiques, scientifiques, images des expositions universelles...), il montre, au fil des siècles, les limites et les évolutions du regard porté sur l\'Autre. "Il s\'agit de nous pencher avec lucidité sur une histoire récente, la nôtre, et de relier les événements entre eux pour mesurer quelle fut l\'arrogance du monde occidental, pour comprendre notre responsabilité dans l\'équilibre d\'un monde que nous savons désormais nécessairement pluriel", explique Michel Viotte, qui a réalisé entre autres Les amants de l\'aventure et Le dernier safari. Chaque plan de son film nous parle de nos peurs, de nos ignorances, de nos vanités, de nos cupidités, mais aussi de nos rêves, de nos courages, de notre volonté de connaître et de comprendre. Dénué de toute nostalgie, adoptant une position critique et humaniste, il interroge avec force la place accordée aujourd\'hui aux civilisations et aux arts dits "premiers".
lundi, 19 juin 2006 à 20:40 Rediffusions : 22.06.2006 à 15:15 26.06.2006 à 01:25
A la rencontre des autres hommes (France, 2006, 85mn) ARTE F Réalisateur: Michel Viotte
A la rencontre des autres hommes (documentaire ARTE de michel viotte) partie 4 de 4
À l\'occasion de l\'ouverture du musée des Arts et civilisations d\'Afrique, d\'Asie, d\'Océanie et des Amériques, situé quai Branly à Paris, ce documentaire retrace l\'histoire du regard occidental porté sur les peuples longtemps considérés comme "primitifs". Une histoire dans laquelle le cinéma et la photographie ont joué un grand rôle, fixant les ultimes confrontations entre les dernières sociétés traditionnelles et l\'Occident triomphant.
À l\'aide de documents scientifiques et artistiques, le réalisateur retrace l\'histoire édifiante du regard occidental porté sur l\'"Autre", le "primitif", depuis les premières descriptions du "bon sauvage" et du "chasseur de têtes" jusqu\'aux travaux d\'ethnologues comme Marcel Griaule ou Claude Lévi-Strauss qui, au XXe siècle, ont remis en cause bien des préjugés. Il nous remémore les grandes étapes de l\'expansion européenne, qui débutèrent avec les conquêtes maritimes du XVe siècle et dont les guerres coloniales du XIXe siècle marquèrent l\'apogée. Devant cette avancée dévastatrice de l\'homme blanc, l\'Autre devait disparaître ou se soumettre, avant que ne s\'amorce une lente évolution des mentalités.
LES PETITS PLUS D\'un regard à l\'autre Depuis le XVe siècle et la découverte du Nouveau Monde, l\'histoire des hommes fut profondément marquée par l\'expansionnisme de l\'Occident, qui tenta d\'imposer son modèle économique, politique et religieux à des sociétés qui, pour la plupart, ne survécurent pas à ce contact. Mais l\'imaginaire de ces peuples se perpétue à travers les oeuvres qu\'ils ont créées et qui sont désormais exposées dans les plus grands musées. Dans cet héritage complexe s\'exprime quelque chose d\'essentiel : un rapport au monde différent du nôtre, fruit d\'une pensée élaborée que notre aveuglement nous empêcha longtemps de percevoir. Piégés par leur ethnocentrisme et leur rationalisme, les conquérants, missionnaires, commerçants, explorateurs et autres colons ne virent souvent dans l\'expression de ces cultures (danses, chants, costumes, sculptures, rites) que folklore, sorcellerie et superstition. Ce documentaire raconte l\'histoire tourmentée de cette rencontre avec des cultures originales et mesure le chemin parcouru jusqu\'à la reconnaissance des "autres hommes", trop longtemps appelés "primitifs". Réunissant des images d\'archives exceptionnelles (extraits de films coloniaux, exotiques, scientifiques, images des expositions universelles...), il montre, au fil des siècles, les limites et les évolutions du regard porté sur l\'Autre. "Il s\'agit de nous pencher avec lucidité sur une histoire récente, la nôtre, et de relier les événements entre eux pour mesurer quelle fut l\'arrogance du monde occidental, pour comprendre notre responsabilité dans l\'équilibre d\'un monde que nous savons désormais nécessairement pluriel", explique Michel Viotte, qui a réalisé entre autres Les amants de l\'aventure et Le dernier safari. Chaque plan de son film nous parle de nos peurs, de nos ignorances, de nos vanités, de nos cupidités, mais aussi de nos rêves, de nos courages, de notre volonté de connaître et de comprendre. Dénué de toute nostalgie, adoptant une position critique et humaniste, il interroge avec force la place accordée aujourd\'hui aux civilisations et aux arts dits "premiers".
lundi, 19 juin 2006 à 20:40 Rediffusions : 22.06.2006 à 15:15 26.06.2006 à 01:25
A la rencontre des autres hommes (France, 2006, 85mn) ARTE F Réalisateur: Michel Viotte
Série documentaire écrite et produite par Junichi Ushiyama, et coproduite par Nippon A-V Productions/Docstar/Telemaque. Episode de 40\' écrit par Agnès Rotschi et réalisé par Yasushi Toyotomi et Claude Blanchard. Musique : Loïk Dury. Narration : Michel Dodane. 1973. Pendant près de trente ans, les équipes du cinéaste et anthropologue japonais Junichi Ushiyama ont sillonné le monde à la rencontre des populations les plus reculées... Les Kamayura - La guerre est un jeu . En Amazonie, les Kamayura se préparent à célébrer le javari, un rituel qui commémore les guerriers morts au cours de l\'année passée. Ils ont invité la communauté voisine des Waura pour que les hommes des deux tribus puissent s\'affronter au javelot dans un simulacre de bataille. Les jeunes garçons commencent, suivis des plus expérimentés et des plus valeureux. Un combattant a été blessé. C\'est l\'occasion pour tous les adversaires de s\'unir autour de lui et d\'honorer celui qui est " tombé au combat ". Mais les tribus du Haut-Xingu forment avant tout une société pacifique, qui met en oeuvre des moyens parfois originaux pour maintenir la paix entre les communautés. Cette rencontre amicale est également l\'occasion d\'échanger des marchandises : céramiques, ornements, flèches, hameçons...
Kamaruya - la guerre est un jeu
/CELEBRATIONS
LES KAMAYURA - LA GUERRE EST UN JEU
Série documentaire écrite et produite par Junichi Ushiyama, et coproduite par Nippon A-V Productions/Docstar/Telemaque. Episode de 40\' écrit par Agnès Rotschi et réalisé par Yasushi Toyotomi et Claude Blanchard. Musique : Loïk Dury. Narration : Michel Dodane. 1973. Pendant près de trente ans, les équipes du cinéaste et anthropologue japonais Junichi Ushiyama ont sillonné le monde à la rencontre des populations les plus reculées... Les Kamayura - La guerre est un jeu . En Amazonie, les Kamayura se préparent à célébrer le javari, un rituel qui commémore les guerriers morts au cours de l\'année passée. Ils ont invité la communauté voisine des Waura pour que les hommes des deux tribus puissent s\'affronter au javelot dans un simulacre de bataille. Les jeunes garçons commencent, suivis des plus expérimentés et des plus valeureux. Un combattant a été blessé. C\'est l\'occasion pour tous les adversaires de s\'unir autour de lui et d\'honorer celui qui est " tombé au combat ". Mais les tribus du Haut-Xingu forment avant tout une société pacifique, qui met en oeuvre des moyens parfois originaux pour maintenir la paix entre les communautés. Cette rencontre amicale est également l\'occasion d\'échanger des marchandises : céramiques, ornements, flèches, hameçons...
Reportages sur les indiens Caricouna (diffusé par France 5 le 27 mai 2006 partie 3 de 3)
CELEBRATIONS
A LA RECHERCHE DES FANTOMES
Série documentaire de 45\' écrite et produite par Junichi Ushiyama, et coproduite par Nippon A-V Productions/Docstar/Telemaque. Réalisation : Tadao Sugiyama et Yasushi Toyotomi. 1976/1988. Pendant trente ans, les équipes d\'un anthropologue japonais ont sillonné le monde à la rencontre des populations les plus reculées, afin de constituer un ensemble de témoignages uniques. A la recherche des fantômes. A l\'heure actuelle, l\'Amazonie a été explorée jusque dans ses parties les plus inaccessibles et toutes les populations indiennes ont vraisemblablement été inventoriées. Mais en 1976, lorsque cette série documentaire a commencé à être tournée, certaines tribus n\'avaient encore jamais été approchées. L\'équipe de tournage a eu la chance de pouvoir accompagner une mission brésilienne chargée, à l\'époque, d\'établir un contact avec un groupe d\'Indiens non encore identifiés : les Caricouna. Il leur faudra plus de trois semaines pour parvenir à leur but, à grand renfort de cadeaux, de sourires, d\'embrassades, de danses... pour les deux premières rencontres. Mais, quand l\'équipe retourne au village pour la troisième fois, les Indiens ont disparu et les signes laissés sur place montrent qu\'ils ne veulent plus de rapport avec les étrangers/Indiens de Colombie : en 1988, une autre équipe part tourner dans le bassin du Vaupes, l\'un des principaux affluents de l\'Amazone, une des régions les moins connues et les plus isolées de Colombie. C\'est là que vivent de nombreuses tribus d\'origines linguistiques différentes, mais qui partagent quelques traits culturels telle la consommation ritualisée de psychotropes pour pénétrer le monde des esprits. Deux cérémonies ont alors été filmées : celle des Cubéo, qui peignent leurs visions sur les murs de leur maloco, et celle des Kabiyali, qui transmettent à travers leurs visions les mythes, l\'histoire et les coutumes du clan aux jeunes du village. (Programme sous-titré par télétexte pour les sourds et les malentendants)
Reportages sur les indiens Caricouna (diffusé par France 5 le 27 mai 2006 partie 2 de 3)
CELEBRATIONS
A LA RECHERCHE DES FANTOMES
Série documentaire de 45\' écrite et produite par Junichi Ushiyama, et coproduite par Nippon A-V Productions/Docstar/Telemaque. Réalisation : Tadao Sugiyama et Yasushi Toyotomi. 1976/1988. Pendant trente ans, les équipes d\'un anthropologue japonais ont sillonné le monde à la rencontre des populations les plus reculées, afin de constituer un ensemble de témoignages uniques. A la recherche des fantômes. A l\'heure actuelle, l\'Amazonie a été explorée jusque dans ses parties les plus inaccessibles et toutes les populations indiennes ont vraisemblablement été inventoriées. Mais en 1976, lorsque cette série documentaire a commencé à être tournée, certaines tribus n\'avaient encore jamais été approchées. L\'équipe de tournage a eu la chance de pouvoir accompagner une mission brésilienne chargée, à l\'époque, d\'établir un contact avec un groupe d\'Indiens non encore identifiés : les Caricouna. Il leur faudra plus de trois semaines pour parvenir à leur but, à grand renfort de cadeaux, de sourires, d\'embrassades, de danses... pour les deux premières rencontres. Mais, quand l\'équipe retourne au village pour la troisième fois, les Indiens ont disparu et les signes laissés sur place montrent qu\'ils ne veulent plus de rapport avec les étrangers/Indiens de Colombie : en 1988, une autre équipe part tourner dans le bassin du Vaupes, l\'un des principaux affluents de l\'Amazone, une des régions les moins connues et les plus isolées de Colombie. C\'est là que vivent de nombreuses tribus d\'origines linguistiques différentes, mais qui partagent quelques traits culturels telle la consommation ritualisée de psychotropes pour pénétrer le monde des esprits. Deux cérémonies ont alors été filmées : celle des Cubéo, qui peignent leurs visions sur les murs de leur maloco, et celle des Kabiyali, qui transmettent à travers leurs visions les mythes, l\'histoire et les coutumes du clan aux jeunes du village. (Programme sous-titré par télétexte pour les sourds et les malentendants)
Reportages sur les indiens Caricouna (diffusé par France 5 le 27 mai 2006 partie 1 de 3)
CELEBRATIONS
A LA RECHERCHE DES FANTOMES
Série documentaire de 45\' écrite et produite par Junichi Ushiyama, et coproduite par Nippon A-V Productions/Docstar/Telemaque. Réalisation : Tadao Sugiyama et Yasushi Toyotomi. 1976/1988. Pendant trente ans, les équipes d\'un anthropologue japonais ont sillonné le monde à la rencontre des populations les plus reculées, afin de constituer un ensemble de témoignages uniques. A la recherche des fantômes. A l\'heure actuelle, l\'Amazonie a été explorée jusque dans ses parties les plus inaccessibles et toutes les populations indiennes ont vraisemblablement été inventoriées. Mais en 1976, lorsque cette série documentaire a commencé à être tournée, certaines tribus n\'avaient encore jamais été approchées. L\'équipe de tournage a eu la chance de pouvoir accompagner une mission brésilienne chargée, à l\'époque, d\'établir un contact avec un groupe d\'Indiens non encore identifiés : les Caricouna. Il leur faudra plus de trois semaines pour parvenir à leur but, à grand renfort de cadeaux, de sourires, d\'embrassades, de danses... pour les deux premières rencontres. Mais, quand l\'équipe retourne au village pour la troisième fois, les Indiens ont disparu et les signes laissés sur place montrent qu\'ils ne veulent plus de rapport avec les étrangers/Indiens de Colombie : en 1988, une autre équipe part tourner dans le bassin du Vaupes, l\'un des principaux affluents de l\'Amazone, une des régions les moins connues et les plus isolées de Colombie. C\'est là que vivent de nombreuses tribus d\'origines linguistiques différentes, mais qui partagent quelques traits culturels telle la consommation ritualisée de psychotropes pour pénétrer le monde des esprits. Deux cérémonies ont alors été filmées : celle des Cubéo, qui peignent leurs visions sur les murs de leur maloco, et celle des Kabiyali, qui transmettent à travers leurs visions les mythes, l\'histoire et les coutumes du clan aux jeunes du village. (Programme sous-titré par télétexte pour les sourds et les malentendants)
Les fichiers .zip sont décompactables avec un logiciel comme WinZip,
les fichiers .tgz ou tar.gz sont plus spécifiquements orientés Linux (Gzip et Tar).